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Blog d'une scribouillarde | Conseils – Écriture – Autoédition


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Bonjour à tous ! J’espère que vous allez bien 😀 Aujourd’hui, je souhaiterais parler d’un sujet qui me touche particulièrement en tant qu’auteure : le syndrome de l’imposteur.

Bonne lecture !

Le syndrome de l’imposteur ou syndrome de l’autodidacte, c’est quoi ?


Il s’agit d’un mécanisme psychologique qui « induit une forme de doute maladif chez les personnes qui en sont victimes. Ces doutes les incitent à nier la propriété de tout accomplissement, qu’il soit professionnel ou privé. Selon cette théorie, les victimes ont donc tendance à rejeter systématiquement le mérité lié à leurs travaux et attribuent leurs succès à des éléments extérieurs comme la chance, le travail acharné, leurs relations, certaines circonstances exceptionnellement favorables… » [source : Passeport santé]

Parmi les auteurs et les artistes en général, le syndrome de l’imposteur est assez répandu. Pourquoi ? Eh bien, peut-être en raison de ce mythe persistant en France selon lequel l’écrivain serait porté par son inspiration. C’est parce qu’une bonne fée s’est penchée sur son berceau et lui a accordé ses faveurs que tel romancier a pondu un best-seller. En effaçant le travail de l’auteur, on sépare également l’œuvre de la personne et la chance est souvent brandie pour justifier un succès : « Oui, j’ai eu beaucoup de chance, c’est parce que j’ai rencontré Machin au salon du livre que mon roman a pu être publié. »

Expérience personnelle

Pour ma part, j’ai beaucoup souffert du syndrome de l’imposteur (et même aujourd’hui, je ne suis toujours pas guérie, ahem…) Depuis que j’ai quitté mon travail pour me consacrer à l’écriture, l’une des questions que je crains le plus est : « Qu’est-ce que tu fais dans la vie ? » Quand j’étais encore assistante éditoriale, je me réfugiais derrière ce paravent, je brandissais mon emploi sans dire qu’en parallèle j’écrivais des livres.  Récemment, cette fameuse question est tombée et au lieu d’annoncer clairement « Je suis auteure », j’ai essayé de me cacher, j’ai marmonné un « J’ai créé une micro-entreprise (micro-entreprise est un mot qui fait très adulte) et je vends des romans autoédités ».

L’autoédition est une excuse que j’utilise assez souvent. Dès que quelqu’un me demande « Ah bon, mais alors tu es écrivain ? », j’esquive aussitôt en expliquant que l’autoédition est à la portée de n’importe qui. Je parle de chance, je précise que ma sœur est graphiste et que, sans elle, je ne me serais jamais lancée dans un tel projet. Je poursuis en disant que ce projet, nous l’avons réalisé toutes les deux comme si c’était un truc bricolé qui nous avait pris une semaine et non pas plusieurs années.

Dans ces moments-là, j’ai le sentiment de ne pas être légitime et qu’en minimisant mon travail, mon interlocuteur remarquera moins mon imposture. Ce vilain syndrome me touche principalement dans « la vraie vie ». Sur les réseaux sociaux, j’ai l’impression que l’écran m’offre une protection, un rempart qui me permet de me proclamer auteure sans craindre les moqueries.

Et si on se libérait du syndrome de l’imposteur ?

Oui, je sais, j’en suis encore très loin xD Mais c’est un travail que j’ai commencé à faire sur moi, notamment en me lançant dans les dédicaces en librairie et dans les salons (un projet qui a dû être mis en pause avec la récente crise sanitaire). Je vais essayer de passer de l’auteure recroquevillée derrière sa table à l’auteure un peu plus sûre d’elle 😉

La vérité est que j’aime créer, j’aime inventer des histoires (et torturer mes personnages) et je ne regrette absolument pas d’avoir tout plaqué pour me lancer dans l’écriture. Je suis heureuse de faire partie du monde des auteurs autoédités et il est temps que je n’ai plus aucune honte à l’admettre en public ^^


Et vous, est-ce que vous avez déjà été victime du syndrome de l’imposteur ?


Crédit image : Andrew Neel sur Unsplash
09:00 2 commentaires



Bonjour à tous ! J’espère que vous allez bien 😊 Aujourd’hui, j’aimerais vous présenter mon nouveau roman Prospérine Virgule-Point et la Phrase sans fin, disponible en version ebook et livre broché sur Amazon ainsi que sur ma boutique en ligne ^^

Un p’tit résumé pour commencer


« Demi-Mot aurait pu être un village ordinaire, s’il n’était pas bâti à la limite du Texte. Jour après jour, les habitants polissent et astiquent les lettres ; ils entretiennent ces milliers de caractères qui, sans leur concours, se seraient déjà effondrés. Chez les Virgule-Point, l’aînée de la fratrie a choisi une voie bien différente : fleuriste ! Elle préfère bichonner des Trompettes à pétales plutôt que de faire prospérer l’empire des points et des virgules. Mais un événement inexplicable ne tarde pas à l’entraîner dans une spirale qui la dépasse.⁣

Et si l’avenir du village était en jeu ? Et si tout était lié à la Phrase sans fin, cette mystérieuse phrase laissée en suspens par l’Auteur ? »

Présentation

J’ai eu l’idée de Prospérine Virgule-Point et la Phrase sans fin quand j’étais correctrice en maison d’édition. À force de me pencher sur des textes, j’ai eu envie de placer mon histoire dans un univers livresque. Et pour la petite anecdote, dès que j’ai su que mon héroïne se nommerait Virgule-Point, je n’ai pas hésité longtemps avant d’appeler mon deuxième personnage principal Point-virgule.

Pour découvrir le trailer, n'hésitez pas à cliquer sur le lien suivant :
 
https://www.youtube.com/watch?v=SneccErwBdQ

 

Une version papier enrichie

Dans ce roman, mon but était de jouer avec les mots et pour le format broché, ma sœur (qui est graphiste) a eu la merveilleuse idée de proposer une version enrichie avec des illustrations. L’idée était de transposer dans la mise en page les aventures de Prospérine grâce à des jeux typographiques.











Qu’en pensez-vous ? 😜

Premières chroniques

Voici des avis de lecteurs qui ont découvert Prospérine Virgule-Point :
 
Eléance
★★★★★Plongez dans ce livre !
Quelle imagination ! Mais où l'auteure est-elle allée chercher toutes ces idées ?! Livre pour les lecteurs qui recherchent un récit différent, d'une grande originalité, avec des personnages loufoques et délicieusement caricaturaux. Après avoir lu les deux ouvrages de Laure Dargelos (immense coup de cœur pour La voleuse des toits), je peux dire que l'auteur fait partie de mon top 2 à présent ! 
 
Ls
★★★★★ Pour les amoureux des livres et des mots
Super, décoiffant, original !
Le lecteur plonge littéralement dans le livre puisque les protagonistes que nous suivront VIVENT dans un livre. Leurs noms, leurs identités, leurs vies, tout est rattaché aux mots, à la grammaire, à l'orthographe.
Et l'auteure y va à fond, jusqu'au bout. Monsieur Italique ? Et bien quand il s'exprime c'est imprimé en Italie, etc.
Franchement, coup de chapeau pour cette auteure que je découvre.
 
Amazon Customer
★★★★★Une aventure originale et haute en couleur !
C'est rafraîchissant de tomber sur un roman qui sort des chemins battus !
Je m'explique. L'auteur nous invite dans un monde tout en encre et en lettres, faisant hommage au monde de l'écriture en général au travers de jeux de mots et des clins d'oeil aussi intéressants que loufoques. La réflexion est même poussée plus loin par la mise en page et la typographie qui reflètent et/ou illustrent les événements de l'histoire ; un côté innovant et immersif que j'ai beaucoup apprécié.
L'aventure en elle-même présente des situations rocambolesques, des retournement imprévisibles et des décors qui font travailler l'imagination. On y retrouve aussi l'humour délicieusement élégant de Laure Dargelos ; il parsème d'ailleurs tous les chapitres et ne se perd pas au fil de l'histoire, ce qui est très agréable dans un roman. La dynamique entre Honoré et Prospérine (un duo inhabituel et aux caractères bien trempés) est rigolote, entraînante et bien menée.

En bref, une lecture très agréable qui donne envie de voir ce que l'auteur écrira par la suite ! 

Client d'Amazon
★★★★★Un univers livresque renversant
Si vous vous êtes toujours demandé ce qu'il pouvait se produire dans l'univers d'un livre, celui-ci va vous faire vivre un grand moment. L'auteure propose une réflexion sur le fait même d'écrire, donnant littéralement vie à ses caractères. L'écriture devient acte de vie, les personnages s'émancipent sous la plume de Laure. Une mise en abyme remarquable sur le mode de l'aventure "ponctuée" d'humour un brin absurde et loufoque. Embarquez pour un récit aussi divertissant qu'intelligent. :)

takiiada
★★★★★
J'avais déjà été conquise par la Voleuse des toits donc autant vous dire que je partais hyper motivée pour ce nouveau roman pour le moins... Inhabituel ! Quelle claque ! Quelle imagination surtout ! Je suis encore sur le cul et je me demande où l'auteure va chercher de telles idées parce que là, on est dans le jamais vu et qu'est ce que j'ai aimé cette lecture complètement décalée 😍

On suit Prospérine qui va découvrir un cadavre dans sa boutique et qui va décider de mener l'enquête, trouvant toute cette histoire vraiment ! %#/:+ ! Elle va être secondée de son frère, qui a avalé le dictionnaire et qui détient le record de plongée, capacité à se retrouver dans un livre, et d'Honoré Point-virgule, un personnage avec lequel je n'ai pas tout de suite accroché, mais qui se dévoile tout au long du roman. Tout cette histoire se déroule dans un livre qui n'a jamais eu de point final et qui a pris fin en plein dialogue, d'où la Phrase sans fin ! Et c'est du génie. L'auteure utilise avec brio tout ce qu'on connaît du monde livresque et de la langue française surtout, usant de tout pour rendre son univers aussi rafraîchissant qu'inovant ! Et elle le fait avec brio !

On suit nos héros à la Capitale où tout le monde parle avec des majuscules. Ce Qui Je L'Avoue À La Lecture Est Parfois Fastidieux, Mais Tellement Bien Pensé ! Bref, l'intrigue est bien ficelée et même si je me suis doutée d'une ou deux choses, le reste à été une véritable surprise et j'ai encore plus apprécié ma lecture du coup ❤️ je suis contente que ce soit un tome unique, on le savoure à sa juste valeur et à la fin, nous sommes heureux du dénouement et de dire au revoir à tout le monde.

Vous l'aurez donc compris, c'est une lecture qui change, une véritable bouffée d'oxygène, loufoque et d'un drôle ! J'ai été conquise dès les premières pages et ça place cette auteure dans mon top des auteurs francophones. Merci à elle pour tout ça et pour son imagination surtout. Cette lecture était juste une tuerie !


Et vous, vous laisserez-vous tenter ? 😉


07:14 No commentaires

 


Bonjour à tous ! J’espère que vous allez bien 😊 Aujourd’hui, j’aimerais vous raconter comment j’ai raté la sortie de mon second roman, Prospérine Virgule-Point et la Phrase sans fin. Oui, vous verrez, rien ne s’est passé comme prévu… N’hésitez pas à me dire en commentaire si cet article vous a plu ^^
Bonne lecture !
 

Le choix de la plateforme

Pour mon premier roman, j’étais passée par Amazon KDP, une plateforme dont j’étais très satisfaite. Quand j’ai commencé à réfléchir pour autoéditer Prospérine Virgule-Point, j’ai été confrontée à une première difficulté. Mon ouvrage comportait de nombreuses illustrations couleur et sur KDP, il n’était pas possible de séparer les pages couleur des pages en noir et blanc, c’est-à-dire que je pouvais indiquer soit 342 pages couleur soit 342 pages en noir et blanc. Pour choisir la couleur, le coût de fabrication par exemplaire était assez élevé : environ 24 euros, ce qui signifiait que le prix de vente devait être supérieur à 24 euros si je voulais avoir une chance de toucher des bénéfices. De plus, si je souhaitais envoyer des services-presse, il me faudrait à chaque fois débourser 24 euros (ce qui, multiplié par une bonne dizaine de blogueurs et chroniqueurs, représente une sacrée somme…). Cela m’a paru trop cher et j’ai décidé de rester sur Amazon KDP pour l’ebook, mais de partir en quête d’une autre plateforme pour la version papier.

Mon choix s’est arrêté sur Books on Demand qui permettait le référencement en librairie. Là, il était possible d’indiquer le nombre de pages couleur, soit 39, et le prix était déjà beaucoup plus accessible pour un éventuel acheteur.

Impression standard vs impression premium


BoD propose deux types d’impression : l’impression standard et l’impression premium. Souhaitant vendre Prospérine Virgule-Point à 19 euros, j’ai comparé le montant de mes redevances selon le type d’impression : pour la standard, je toucherais un peu plus de 3.50 euros contre 0.70 euro pour la premium (une grosse différence, non ?).

Comme je ne parvenais pas à dénicher d’informations sur la différence de qualité, j’ai décidé de choisir l’impression standard. Je me disais qu’au pire, je n’aurais qu’à changer de type d’impression si l’épreuve se révélait insatisfaisante. J’ai donc complété le formulaire sur la plateforme en laissant vierge la case qui me proposait d’indiquer une date de sortie. Dans ma tête, cela fonctionnait comme sur Amazon : je remplis le formulaire, je commande une épreuve et une fois la qualité validée, je choisis la date de sortie. Cela me paraissait tellement logique que ce ne fut pas le cas…

BoD ou l’absence d’épreuve

Imaginez que vous entrez dans un magasin de vêtements. Vous avez choisi un article et lorsque vous questionnez un vendeur sur l’emplacement de la cabine d’essayage, on vous répond : « Il n’y en a pas, vous n’avez qu’à l’essayer chez vous et si vous n’êtes pas satisfait, vous n’aurez qu’à payer 19 euros pour changer l’article. » Cela vous semble étrange, eh bien, c’est ce qui m’est arrivé sur BoD.

Sitôt payé les 19 euros que coûte la formule BoD Classique (en comparaison, Amazon KDP est gratuit), le formulaire se bloque et il n’est plus possible de changer la date de sortie. À défaut d’avoir indiqué une date, la date retenue est celle du jour. À ma plus grande surprise, je me suis donc retrouvée avec un exemplaire papier en ligne sans avoir pu vérifier la qualité d’impression.

Depuis plusieurs semaines, j’avais commencé à parler de Prospérine Virgule-Point sur les réseaux sociaux à travers des extraits, des présentations de personnages, etc. Du jour au lendemain, j’ai complètement stoppé ma promotion. « Et si la qualité est mauvaise ? pensai-je. Je ne vais quand même pas inciter des gens à acheter un produit que je n’ai pas encore vu… »

Assez anxieuse, j’ai attendu de recevoir mon exemplaire test pendant plus de deux semaines. Quand il est enfin arrivé, je n’ai pas tardé à déchanter : l’impression standard n’était vraiment pas terrible et me faisait penser aux performances de ma propre imprimante couleur. Dans Prospérine Virgule-Point, certaines illustrations en noir s’accompagnaient de vilaines stries que je n’aurais même pas tolérées dans mon mémoire de M2. En bref, il fallait absolument que j’opte pour l’impression premium si je ne voulais pas que mon ouvrage fasse amateur (et en tant qu’auteure autoéditée habituée aux a priori, il est encore plus primordial que l’ouvrage soit irréprochable…).

Changer le prix et le type d’impression

L’impression premium était beaucoup plus coûteuse que l’impression standard. Si je gardais mon prix à 19 euros, je n’aurais touché qu’une redevance de 0.70 euro qui, comme vous l’avez constaté, est assez dérisoire. J’ai donc décidé de fixer un prix de vente à 20 euros ce qui me permettrait de gagner *roulements de tambour* 1.24 euro par exemplaire vendu (je ne vous cache pas que je compte surtout sur les commandes via ma boutique en ligne pour payer mes factures…)

Me revoici donc sur BoD pour choisir l’impression premium (et payer à nouveau les 19 euros que coûte la formule car, dès que l’on touche au fichier ou aux paramètres, il faut remettre la main à la poche). Bien sûr, quand j’ai appelé le service clients pour savoir s’ils pouvaient bloquer l’ancienne version et éviter à de malheureux lecteurs d’acheter un ouvrage mal imprimé, on m’a répondu que « non, ce n’est pas possible ».

Pour que Prospérine Virgule-Point passe de la version 1 à la version 2 dans les différents points de vente (Amazon, Fnac…) que distribue BoD, il faut à nouveau attendre. Attendre, attendre, attendre… et bien sûr, je ne peux pas faire de promotion durant ce délai. J’ai un ouvrage en ligne que je ne dois SURTOUT pas vendre, donc impossible d’en parler sur les réseaux sociaux. Là où j’étais assez active sur mon compte, je suis devenue complètement invisible. Je ne vous raconte pas à quel point mon mois d’août a été bizarre…

(si jamais vous avez acheté la mauvaise version, je suis vraiment vraiment désolée, n'hésitez pas à me contacter 😭😭😭)

Conclusion

Le 21 septembre, mon roman est enfin en ligne. Après une mésaventure qui aura duré presque un mois et demi, vous ne pouvez pas savoir à quel point je suis contente de reprendre ma communication sur Prospérine Virgule-Point. Bon, pour mon prochain roman, je resterai sur Amazon KDP…

Et vous, avez-vous déjà connu des mésaventures lors de la sortie de votre ouvrage ? 😜

Crédit image : Fallon Michael sur Unsplash

14:07 4 commentaires

Bonjour à tous ! J’espère que vous allez bien 😊 Dans un précédent article, je vous ai parlé de l’importance de créer un site auteur. Aujourd’hui, j’aimerais poursuivre sur ce sujet et vous détailler les avantages et inconvénients d’avoir sa propre boutique en ligne. N’hésitez pas à me dire en commentaire si cet article vous a plu ^^

Pourquoi est-il avantageux d’avoir une boutique ?

La boutique permet de traiter en direct avec l’acheteur. En évitant de passer par une plateforme de vente telle qu'Amazon, vous toucherez davantage de bénéfices.

Pour parler chiffres, prenons l’exemple de mon roman de fantasy young adult, La Voleuse des toits. Le broché est vendu 20 €. Sur Amazon, il faut déduire le coût de fabrication (8.70 €) et les redevances de la plateforme. Au final, je ne touche plus que 2.68  €.

Dans le cas de ma boutique, je paye toujours le coût de fabrication (8.70 €), mais je ne paye plus de redevances. Par contre, je dois ajouter les frais de port : concernant La Voleuse des toits, le coût d'un envoi par Mondial Relay s’élève à 6.05 € mais, afin que cela reste attractif pour le client, je ne facture que 4 €. Le virement s’effectue via Paypal qui touche également un léger pourcentage (1.05  €). Soit : 20 + 4 – 6.05 – 8.70 – 1.05 = 8.20 €.

D'un point de vue financier, avoir une boutique est beaucoup plus rentable qu'Amazon.

Vous pouvez également vendre votre livre en version numérique. L’ebook ne vous coûte rien et vous avez tout intérêt à l’ajouter sur votre boutique.
 

Mais avoir une boutique est aussi un investissement. 
 
Pour lancer sa boutique, la première étape est d’investir dans du matériel : stock de livres, papier bulle, cartons, goodies et flyers...

  • Livres : commencez par 10-20 exemplaires. Si vous ne possédez pas déjà un réseau de lecteurs, il est possible que vous n’ayez pas énormément de clients les premières semaines. Ne vous encombrez pas avec un stock trop important de livres ^^
  • Papier bulle et cartons : pour ma part, j’ai passé commande sur Embaleo dont je suis assez satisfaite des produits. J’ai acheté un rouleau de papier bulle standard de 50 m et un lot de 50 emballages cartons pour un peu plus de 50 €.
  • Goodies et flyers : si le lecteur commande sur votre site et est prêt à payer des frais de port (ce qui n’est pas le cas sur Amazon), il a envie d’avoir « quelque chose » en plus. Ce « quelque chose » peut être une dédicace ou bien un marque-page reprenant la couverture ou les personnages de votre ouvrage. Pour La Voleuse des toits, je suis passée par HelloPrint pour imprimer mes marque-pages. J’ai aussi fait imprimer des flyers où figure l’adresse de mon site auteur ainsi que les réseaux sociaux où je suis présente. Au dos du flyer, j’écris toujours un petit mot pour remercier le lecteur de sa commande et lui souhaiter une agréable lecture.
    Là aussi, j'ai dépensé une cinquantaine d’euros.
Comment envoyer les colis ?

Pour ma part, je passe par Mondial Relay qui coûte moins cher qu’un Colissimo. La Voleuse des toits pèse 1.1 kg. Par Colissimo, le tarif serait de 8.95 € contre 6.05 € par Mondial Relay.
Par contre, Mondial Relay est une livraison en point relais. Lorsque je reçois une commande, je me connecte sur Mondial Relay et j’indique l’adresse mail de l’acheteur afin qu’il puisse choisir son point de livraison. 
 
Comment ajouter une boutique sur son site auteur ?

Dans mon précédent article, je vous parlais de la plateforme Wix, sur laquelle il est possible d’ajouter une boutique mais celle-ci est payante. Le forfait est de 204 € par an, ce qui représente un certain budget.

Cependant, vous pouvez également opter pour une boutique gratuite en passant par Ecwid. L’avantage d’Ecwid est que vous pourrez ensuite facilement rattacher votre boutique à votre site Wix.
Si la version est gratuite,  elle présente aussi l’inconvénient d’être limitée : impossible de proposer à la vente plus de 10 articles.

Autre différence : l’ebook.
Sur la boutique Wix, vous pouvez ajouter le téléchargement de fichier. L’acheteur peut donc recevoir automatiquement l’ebook et vous n’avez rien à faire. 
Sur Ecwid, cette fonctionnalité est payante. Avec la version gratuite, vous pouvez envoyer vous-même un mail au lecteur avec l'ebook en pièce jointe. 

 
Avoir une boutique peut être chronophage.

Si vous hésitez à vous lancer, pesez bien le pour et le contre car tenir une boutique peut être chronophage. En ce qui me concerne, je perds facilement une heure entre la dédicace, l’emballage, la facture et le déplacement jusqu’au point Mondial Relay. À vous de voir si vous avez le temps et l’énergie de vous consacrer à cette activité 😅 


Et vous, amis scribouillards, est-ce que vous vendez vos livres sur une boutique en ligne ?

J'espère que cet article vous a plu 😊


Crédit image : Aleksander Vlad on Unsplash



09:58 7 commentaires

Bonjour à tous ! J’espère que vous allez bien 😊 Aujourd’hui, j’aimerais vous parler de l’importance d’avoir un site auteur, notamment lorsque l’on se lance dans l’autoédition. N’hésitez pas à me dire en commentaire si cet article vous a plu ^^

Pourquoi est-ce si important d’avoir un site auteur ?

Le site est une vitrine. En tant qu’outil promotionnel, il se doit d’être professionnel et vendeur. Pour ma part, quand j’entends parler d’un auteur/entreprise/produit/etc., mon premier réflexe est toujours d’aller voir sur internet. Lorsque je ne trouve pas de site, j’ai tendance à être légèrement méfiante. Avoir un site, c’est la promesse d’être visible sur le net et de pouvoir toucher plus facilement les acheteurs.

Comment créer son site auteur ?

Personnellement, j’utilise la plateforme en ligne Wix que je vous recommande (je ne parlerai pas des autres créateurs de site Web, tel que WordPress, parce que je ne les ai pas testés).

Wix est entièrement personnalisable. Il est possible de télécharger des templates variés que l'on peut facilement modifier selon ses envies. La plateforme est assez intuitive et simple d'utilisation. Il n’est pas nécessaire de savoir coder.
Wix vous affiche un aperçu de votre site web aussi bien sur ordinateur que sur mobile.

Il existe une version gratuite. Par contre, la gratuité s’accompagne de deux inconvénients : des publicités en bandeau en haut de l’écran et un nom de domaine en .wix. Mais si vous débutez et que vous ne souhaitez pas investir dans une version payante, la version gratuite est largement suffisante. Pour obtenir un nom de domaine en .fr ou .com et vous débarrasser des publicités, vous pouvez opter pour la version payante à partir de 8.50 € par mois. Le nom de domaine est offert la première année.

Que mettre sur son site auteur ?

Il est important que certaines informations apparaissent sur son site auteur, en particulier :

  • Présentation de l’auteur : le lecteur a envie de vous connaître et de savoir quel est votre univers. N’hésitez pas à rédiger une courte biographie et à l’accompagner d’une photographie. Pour ma part, j’aime bien associer un visage à un nom, cela crée un côté beaucoup plus humain. Veillez à choisir une image qui fasse professionnelle (non, pas la photo où vous êtes en bikini au bord de la plage ^^).
  •  Présentation de vos ouvrages : ajoutez la couverture de vos romans ainsi que la quatrième de couverture. Vous pouvez joindre à cette présentation le lien vers Amazon afin d’inciter les lecteurs à se procurer vos livres.
  • Chroniques : si des blogueurs/des médias ont parlé de vos ouvrages, vous pouvez également mettre un lien vers leurs chroniques. En tant que lectrice, cela me rassure toujours de lire des commentaires clients avant de passer à l’achat.
  • Actualités : votre prochain roman sort bientôt ou vous participez à un salon du livre ? Mentionnez cet événement dans une rubrique actualités. Cela permet aussi de montrer à vos lecteurs que vous êtes actif.
  • Contact : lorsque vous créez un site web, il est important que les lecteurs puissent vous joindre facilement. Ajoutez un formulaire de contact et si vous recevez un mail, essayez de répondre sans tarder. Le lecteur sera flatté et vous pourrez faire de lui un « ambassadeur », quelqu’un qui répétera à ses amis : « Tel auteur a écrit un super livre et en plus, il est vraiment sympa. »
  • Newsletter : n’hésitez pas à mettre en place une newsletter. Cet outil est beaucoup plus efficace qu’une publication sur les réseaux sociaux car son taux d’ouverture est plus élevé. Essayez d’envoyer une newsletter par mois pour présenter vos projets/vos actualités.
  • Réseaux sociaux : si vous êtes sur les réseaux sociaux, ajoutez des liens afin que vos lecteurs puissent facilement vous suivre sur Facebook, Twitter ou encore Instagram.

Et vous, amis scribouillards, est-ce que vous avez déjà un site auteur ?

J’espère que cet article vous a plu 😜


Crédit image : Kari Shea on Unsplash
09:49 No commentaires

Bonjour à tous ! J’espère que vous allez bien 😊 Aujourd’hui, je reviens avec un nouvel article qui vous parlera sans doute si vous débutez dans l’écriture. Nous sommes nombreux à nous questionner sur la qualité de nos textes, à nous comparer aux autres et à ne voir que les défauts dans nos histoires.

Eh bien, laissez-moi vous dire une chose : avant d’exceller dans un domaine, tout le monde a été mauvais.

L’écriture : s’entraîner encore et encore

En France, un mythe persiste : celui de l’auteur porté par son inspiration. Pour ma part, je suis persuadée que ce n’est pas un talent inné et que l’écriture s’apprend. Oui, il est possible d’apprendre à écrire comme nous avons appris à marcher, lire et compter lorsque nous étions enfants. En quoi construire un roman avec une intrigue solide et des personnages attachants serait-il si différent ? D’ailleurs, depuis plusieurs années, se développent dans l’Hexagone des masters de création littéraire. Nos universités commencent à suivre l’exemple des pays anglo-saxons où de telles filières sont déjà bien établies.

L’écriture est comme toute discipline : elle nécessite de l’entraînement. Aucune danseuse étoile n’a réussi à faire les pointes du premier coup. De même, aucun apprenti scribouillard n’a écrit un best-seller dès sa première tentative. Lorsque l’on débute une activité, il est normal de se planter une fois, deux fois, trois fois, de recommencer encore et encore… Ce n’est jamais du temps perdu : tous ces brouillons que vous avez jetés dans un coin, même s’ils étaient maladroits, vous ont permis de progresser.

Prenez un roman de votre auteur préféré, celui dont vous admirez tant le style. Avant de parvenir à une telle maîtrise des mots, lui aussi était un débutant. Il lui a fallu s’exercer, parfois pendant des années, pour atteindre un tel niveau.

Chaque auteur évolue

Votre style progresse à chaque roman. Vous apprenez à mieux vous connaître, à cerner vos failles, à développer tel ou tel aspect de votre intrigue. L’auteur que vous étiez hier n’est pas celui que vous serez demain 😜

N’hésitez pas à toujours garder une copie de vos manuscrits. Si vous sentez que vous vous dévalorisez, jetez un petit coup d’œil à vos précédents écrits. Vous verrez alors à quel point vous avez évolué et vous pourrez être fier de vous.

« Mon histoire n’est pas originale »

Parfois, j’entends des auteurs affirmer qu’ils manquent de talent car leur histoire n’est pas originale. Aucune histoire n’est originale : qu’importe la brillante idée qui vous a traversé l’esprit à trois heures du matin, elle existe sûrement déjà dans un autre livre/un film/etc. Ce qui va la rendre originale, c’est la façon dont vous allez l'exploiter, la combiner avec d’autres idées pour donner à votre histoire une identité propre 😊

Listez les qualités de votre manuscrit

Vous avez terminé un roman ? Bravo, laissez-le reposer quelque temps. Lorsque vous attaquerez la phase de relecture, listez les défauts de votre texte, mais aussi ses qualités. Votre texte a forcément des atouts : des descriptions réussies, un univers fascinant, des personnages intéressants, etc. En gardant ces éléments en mémoire, vous serez beaucoup plus motivé pour vous lancer dans les corrections ^^

Ne vous comparez pas aux autres

Sur les réseaux sociaux, les auteurs aiment partager leur routine d’écriture ou encore leur quota de mots. Ne vous laissez pas décourager en vous comparant aux autres. Voyez-les comme des modèles ou des sources d’inspiration, mais ne vous sous-estimez pas. Nous avons chacun notre propre rythme d’écriture qui nous correspond ^^

Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le partager 😊

Et vous, est-ce que cela vous arrive de vous dévaloriser ?


Crédit image : Paola Chaaya on Unsplash
10:08 No commentaires

Bonjour à tous ! J’espère que vous allez bien 😊 Oui, ça fait un petit bout de temps que je n’ai rien posté sur mon blog, désolée pour mon absence ^^ Aujourd’hui, j’avais envie de vous parler de mon dernier roman : un beau bébé de 198 pages, 27 chapitres et 98 018 mots écrits en à peine trois mois. Si vous me connaissez un peu, vous savez que je suis assez lente pour scribouiller, j’aime bien peaufiner chaque phrase et pour moi, finir un premier jet en si peu de temps représente un p’tit exploit !

Le concours Folio SF

Du 6 janvier au 6 mai 2020, Folio SF a lancé un grand concours d’écriture. Le but : envoyer un roman de SF/fantastique/fantasy correspondant au thème « Mille et une voix » et le gagnant aura la chance d’être publié.

Pour ma part, j’ai entendu parler de ce concours vers mi-janvier et tout de suite, je me suis dit que ce serait une bonne occasion de me forcer à avancer. Ce qui me motivait surtout, plus que la perspective d’être lue par des professionnels, c’était l’idée que le 6 mai, j’aurais un roman de terminé.

Bien sûr, cela tombait à un moment où j’avais déjà pas mal de choses à faire : un roman en cours d’écriture et un autre à corriger. Pour me mettre au défi, je me suis laissé jusqu’au lendemain soir pour trouver une idée.  À mes yeux, c’était plutôt : si j’ai une intrigue, tant mieux, je me lance là-dedans à fond ; sinon, tant pis je continuerai mes projets. Et puis, une idée est arrivée, suivie d’un bataillon de personnages et j’ai commencé à réfléchir plus intensément à cette nouvelle histoire.

La deadline

Oui, sans deadline, je serais encore au chapitre 10 à me dire que ce serait sympa si je pouvais terminer cette histoire en moins d’un an. Pour moi, la deadline est l’une des meilleures amies de l’écrivain ! Sans cette pression, j’ai toujours faussement l’impression d’avoir le temps : « Oh, ce n’est pas grave, je scribouillerai plus demain/la semaine prochaine… » À force de reporter à plus tard, on se retrouve à la fin du mois sans avoir rempli ses objectifs d’écriture.

Trois mois, c’est long et c’est court à la fois.


Le premier mois, j’ai commencé à jongler entre trois projets différents : le roman du concours, le roman que j’étais déjà en train d’écrire et le roman à corriger. Bien vite, je me suis aperçue que je ne parviendrai pas à tenir le rythme. J’ai donc mis de côté l’autre roman à écrire pour me concentrer sur le concours et les corrections.

J’ai essayé de me fixer un quota de mots par jour : au début 1000 mots, puis je suis vite passée à 2000 mots. Je me levais aussi une heure plus tôt. La deadline m’obligeait vraiment à écrire même certains matins où je serais bien restée sous la couette. Je comptais les jours qui restaient sur le calendrier et je regardais ma progression quotidienne. Ma hantise était de devoir bâcler la fin et de ne pas pouvoir développer certaines sous-intrigues autant que je l’aurais souhaité.

Le confinement, les Sims et moi !

Une bonne partie du roman a été écrit en plein confinement. Pour essayer d’échapper à l’ambiance anxiogène, je me suis renfermée sur moi-même : je voulais me plonger dans mon univers afin d’oublier ce qui se passait à l’extérieur.

Malheureusement, j’ai fini par tomber malade et j’ai passé une semaine au lit sans pouvoir écrire. Je ne parvenais pas à me concentrer, ni à réfléchir. Dans mon histoire, j’avais aussi atteint un passage assez difficile et je voulais être en forme pour m’y remettre. Du coup, j’ai joué… aux Sims.

Pour moi, jouer aux Sims n’est pas une bonne idée parce que je peux passer des heures à construire une maison et faire évoluer ma famille 😅 Au bout de plusieurs jours de glandouille intense, je me suis rendu compte que je faisais faire à mon Sims ce que j’aurais dû faire moi-même : du sport et surtout me remettre à écrire.

À ce moment-là, il me restait à peu près trois semaines et je venais de dépasser les deux tiers de mon roman. En réfléchissant à mon background, j'ai réalisé que certains éléments n’étaient pas assez travaillés. Du coup, je me suis lancée dans un formidable marathon pour tout reprendre depuis le début et gonfler certains passages afin de rajouter de la profondeur à l’univers. Une semaine plus tard, j’étais assez satisfaite du résultat… mais surtout très en retard.

3000 mots par jour et rush final !

Le plus beau avec la deadline, c’est quand on compare le chemin parcouru avec ce qui nous reste à faire pour atteindre le point final. Avec plus de 70 000 mots de scribouillés, je me disais que ce serait vraiment dommage de renoncer si près du but… et donc, j’ai commencé avec un nouveau rythme de 3000 mots par jour.

Jusqu’à présent, je ne pensais pas que c’était possible pour moi d’écrire autant. À la fin de la journée, je ressemblais un peu à un zombie xD Le rush final a été particulièrement intense, surtout que j’ignorais le nombre de chapitres qui me restait à écrire. La deadline était le 6 mai et j’ai fini mon roman le 2 au matin ^^ Normalement, j’aime bien laisser reposer mon texte quelques semaines avant de me replonger dedans… mais bon, dans le cas présent, une après-midi, c’était le grand maximum xD

J’ai passé trois-quatre jours à tout relire pour finalement l’envoyer pour le concours à H-4. Mission accomplie, ha ha ! Maintenant, ça me fait très bizarre de regarder le calendrier et de me dire que je n’ai plus aucune deadline… Ah si, il faut que je finisse de corriger Prospérine Virgule-Point pour le sortir cet été 😋

Et vous, vous aimez écrire avec une deadline ?

N’hésitez pas à me dire en commentaire si cet article vous a plu 😊

Crédit image : NeONBRAND on Unsplash
09:06 2 commentaires
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Laure Dargelos

Scribouillarde la nuit et rêveuse professionnelle le jour, j’espère partager avec vous mes réflexions sur l’écriture et le monde merveilleux de l’édition ! Bienvenue sur mon blog !

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